Zaraki Kenpachi , le maitre de la douleur ...

~~ VOTRE PERSONNAGE ~~
Nom : Zaraki
Prenom : Kenpachi
Age : /
Grade : Capitaine de ( numéro de la division ) 11 (si possible)

Nom du Zanpakuto ( Shinigami et Espada ) : /

Caractere ( 15 lignes ) : Zaraki est un homme des plus difficile à cerner psychologiquement parlant. Le fil conducteur de sa personnalité est incontestable son inextinctible soif de combat avec de puissants adversaires dans le seul but d'assouvir son désir d'affrontements sans cesses plus puissants. Il est du genre à songer que "rebondir lorsque l'on est acculé" est la meilleure des façon de développer sa force, et espère ainsi s'élever au rang de plus fort shinigami existant. Il aime plus que tout affronter des adversaires de valeur et se plonger dans la transe du combat, se laissant sombrer dans ses envies sanguinaires pour sa plus grande joie. Cynique et sanguin, c'est un combattant impulsif et totalement hors de contrôle une fois plongé dans l'affrontement, qui se soldera soit pas sa neutralisation la plus totale -qu'il soit incapable de tenir un sabre- soit pas la mort pure et simple de celui qui s'est dressé devant lui.

De ce fait, il est bien normal que s'il faille que quelqu'un adhère au Gôtei 13 par le moyen le moins orthodoxe, il s'agisse de lui et lui seul. Il est en effet le seul capitaine parmis les 13 divisions de la cour à s'être hissé à ce poste en terrassant et tuant son prédécésseur devant deux centaines de soldats afin de confirmer son statut de capitaine. Il est donc fort peu apprécié de ses confrères mais s'en moque, n'attendant que le fait que l'un d'entre eux en ait assez et l'agresse afin de l'affronter, conformément à ses ambitions de "démon". Il est d'ailleurs plus qu'effrayant de le voir passer de son apparence "froide" à celle d'un véritable dément, drogué au combat pur et simple, dont la folie se lit sans mal dans le regard. Et dire qu'il paraît que sa rencontre avec Yachiru lui permit de s'adoucir...

Il sait cependant reconnaître un adversaire de valeur, ce que confirme l'aide qu'il a apporté à Ichigo et les autres lors de leur escapade au sein de la Soul Society après que le rouquin ait fait un match nul avec lui lors de leur duel qui s'était avéré être un combat de titans ou chacun avait poussé ses forces jusqu'à leur extrême limite.

Description physique ( 15 lignes ) : Zaraki n'est pas homme à dissimuler une puissance effroyable sous une apparence chétive pour mieux surprendre l'adversaire. Son physique plus qu'imposant en est la preuve. Véritable colosse mesurant une taille approximative de deux mètres et vingt centimètres, coupe de cheveux comprise, il pèse très exactement 108 kilos et est sans nul doute le shinigami le mieux bâti du Seireitei. En plus de sa haute silhouette, sa carrure épaisse et musculeuse, résultat d'innombrables combats l'ayant endurci à un point inimaginable, n'est que le reflet de son désir d'affronter plus fort que lui jusqu'à en périr s'il le fallait. C'est un homme charismatique, et son apparence est à la hauteur de son mental : titanesque, il porte sur le visage une large balafre, stigmate de l'un des incalculables duels qu'il a jadis livrés, ainsi qu'un bandeau noir placé devant son oeil droit, bien que celui-ci soit parfaitement intact. La présence de cet ornement n'est aucunement décorative, tout du moins ce n'est pas là sa fonction principale: en effet, elle aspire en permanence le trop plein d'énergie spirituelle du capitaine, ce qui permet à celui-ci de révéler sa pleine puissance lorsqu'il se défait de la pièce de tissu en question, qui abrite un esprit dévoreur de reiatsu.

Ses cheveux sont coiffés en de hautes pointes effilées tressées et ornées chacune d'une clochette en son extremité, cette spécificité étant présente uniquement pour l'aider à semer le trouble dans l'esprit de l'adversaire lors d'un combat. Zaraki est un combattant dominant avant tout le champ de bataille par la peur qu'il inspire aussi bien dans son propre camp que dans le camp adverse, ne l'oublions pas. Ces pointes hérissées sur son crâne lui demandent beaucoup de temps chaque matin, ce qui l'oblige à se lever tôt, tout particulièrement pour placer les clochettes. Le nez aquilin, le regard perçant comme celui d'un aigle et la mâchoire volontaire, toujours nanti d'un rictus goguenard et provocateur, il a tout du prédateur, ce qui coincide bel et bien avec la réputation qu'il s'est faîte à la force de son sabre.

Taillé dans le roc, ce qui fait certainement de lui le capitaine le plus robuste du Seireitei (Kurotsuchi excepté mais lui ça compte pas, il triche avec son reconstituant ), il porte le kimono noir réglementaire sous le manteau de capitaine qu'il a arraché jadis à la dépouille de son précésseur, lequel baignait dans son sang après que Zaraki l'ait éliminé froidement lors d'un duel en présence de deux-cent soldats pour confirmer son accession au rang de capitaine de la onzième division. Le manteau n'a pas été réparé depuis, ce que confirme les nombreuses lacérations que l'on découvre un peu partout sur la longueur de celui-ci, traces des combats passés du "démon".

Histoire ( 35 lignes ) : Zaraki vit le jour dans le 80eme district du Rukongaï, celui qui lui inspira le nom de famille dont il s'est lui-même baptisé, incontestablement le plus mal fâmé et celui étant doté de la réputation la plus sombre de toutes. C'est le genre d'environnement malsain ou l'on voit mal survivre un nouveau-né, étant donné l'aura sanguinaire qui se dégage des lieux en question. La philosophie locale se résume simplement à "bouffer ou se faire bouffer", simplification de la loi du plus fort, tout simplement. De ce fait, dès son plus jeune âge, Zaraki dût lutter pour assurer sa survie et sa subsistance. Il grandit tant bien que mal, à la manière d'une mauvaise herbe s'élevant peu à peu grâce au sang dont elle est nourrie quotidiennement. À force de combattre pour vivre, Kenpachi développa donc un goût prononcé pour le sang et les adversaires les plus fort, du haut de sa puissance de combat proprement démesurée. Il n'eut de cesse de chercher des affrontements pouvant à tout moment s'avérer mortels pour lui, ayant bien peu de considération pour sa propre vie, qu'il considérait désormais comme inutile si elle n'était pas faite pour faire couler le sang comme c'était devenu une habitude pure et simple pour lui.
Ce fût alors qu'il fit la rencontre d'un bébé aux cheveux roses après un enième affrontement. Bien que Zaraki fût calmement assis au milieu d'une marre de sang, et malgré sa lame qui en dégoulinait et son apparence pour le moins peu attrayante, ce bébé fût pris d'une envie de s'avancer jusqu'à lui malgré le sang qui l'entoura et s'avança dans celui-ci en souriant et éleva la main vers Kenpachi, l'air joyeux. Cette rencontre marqua un tournant dans la vie de Kenpachi, qui s'adoucit énormément sans pour autant s'assagir en ce qui concerne les combats, dont il est resta extrêmement friand. Il baptisa le bébé du nom qu'il désirait posséder, "Yachiru", et décida de l'emmener avec lui pour prétendument veiller à sa survie.
Errant à travers le rukongaï, il en vint à croiser la route de Yumichika et Ikkaku. Ce dernier, étant doté des même objectifs que lui, fût bien évidemment pris de l'envie folle de défier Zaraki, au vu de la puissance que celui-ci dégageait. Kenpachi le terrassa avec quelques peines mais sortit largement triomphant de l'affrontement, Ikkaku étant incapable de se relever pour poursuivre le combat. Fou de rage, celui-ci hurlait à son adversaire de l'achever. Zaraki, exaspéré par ses gémissements, lui hurla qu'il n'avait qu'à essayer de se relever pour pouvoir une fois encore le défier et tenter de prendre sa revanche dans des jours prochains. Fortement marqué par cette phrase, Ikkaku fût impressionné par le charisme de Zaraki et prit donc la décision de le suivre dans tout ce qu'il entreprendrait, ce qui aboutit à faire de son rêve le plus cher le simple fait de mourir sous les ordres de Zaraki.
Peu de temps après, dans des circonstances encore troubles à ce jour, Zaraki affronta devant deux-cent shinigamis l'ancien capitaine de la onzième division et lui prit la vie sans trop de mal, arrachant le manteau blanc qu'il porte à ce jour à son cadavre refroidi, baignant dans son propre sang. Sa première action en tant que capitaine fût de nommer Yachiru vice-capitaine et Ikkaku troisième siège de la division, se contentant de laisser Yumichika en devenir membre. Celui-ci se débrouilla par ailleurs pour obtenir le cinquième siège pour des raisons qui lui sont propres, mais ceci est une autre histoire.
De par la façon dont il avait obtenu son titre, Zaraki est fort peu apprécié des autres membres du Gôtei 13, ce qui donne régulièrement lieu à des tensions au sein-même du groupe. Mais cela n'empêcha pas Zaraki de vivre sa vie, ces mêmes tensions étant pour lui une promesse de beaux combats pour le jour où elles atteindraient leur paroxysme. Cela n'avait guère changé; le démon de la onzième avait toujours le goût du combat et recherchait sans cesse des expériences nouvelles en la matière, ce qui le poussa à chercher à affronter Ichigo à tout prix après que celui-ci eut gravement blessé son troisième siège.
Il parvint donc finalement à mettre la main sur le rouquin et l'affronta dans un duel qui tourna bien vite à son avantage. En effet, Ichigo ne communiquant que bien trop peu avec Zangetsu, il ne pouvait aucunement en déployer la pleine puissance et ne parvenait même pas ç égratigner le corps robuste de Zaraki malgré le fait que celui-ci lui laisse le droit de le frapper sans qu'il ne se défende. Mais lorsqu'Ichigo prit enfin conscience de l'importance de la communication avec son sabre, ils se retrouvèrent à armes égales pour le plus grand plaisir de Kenpachi, qui pût ôter pour la première fois depuis d'innombrables années se séparer du bandeau qu'il porte sur l'oeil. Cependant, ne connaissant pas le nom de son sabre, le capitaine de la onzième fût rapidement débordé par la puissance colossale que le rouquin était parvenu à déployer, et le combat se solda par un match nul ou tout deux s'écroulèrent dans leur sang.
Reconnaissant la valeur d'Ichigo, il se mit en but de lui venir en aide pour mériter le droit de l'affronter à nouveau antérieurement, et alla jusqu'à affronter Tôsen et Komamura lorsqu'il fallut empêcher l'éxécution de Rukia. Il triompha d'ailleurs du premier à la seule force de sa lame, bien qu'il eut recours à son bankaï. Au vu de la puissance effarante que peut déployer Zaraki sans même connaître le Shikaï, le jour où son sabre lui confiera son nom est sans doute à redouter plus que tout pour ceux qu'il désire affronter.

Post RP: ( 15 lignes ) : En dessous

Voila le test RP , comme promis !

Tu es Kurosaki Ichigo, non?

Prononcés sur un ton guttural, sombre et profond mais pourtant détaché par l'illustre capitaine de la onzième division, ces mots résonnèrent avec force dans l'esprit troublé du rouquin, laissant un frisson parcourir sa colonne vertébrale alors que le célèbre "démon" se dressait dans son dos, sa simple aura accablant déjà l'adolescent, qui semblait ne réussir à répliquer qu'à grande peine.

...! C... Comment sais-tu mon nom?... Qui es-tu?...

Ses yeux marrons, dans lesquels se lisait son anxiété grandissante malgré ses efforts pour la dissimuler à la vue de son ennemi, toisaient désormais d'un regard en coin qui se voulait intimidant le colosse qui le tenait en respect, semblable à une montagne dressée derrière le Shinigami remplaçant, véritable monument qui en imposait par sa seule présence. Ichigo ne se mouvait qu'avec peine, véritablement écrasé par la présence spirituelle de Kenpachi, qui se contentait de se tenir là paisiblement, sans se forcer pour impressionner son adversaire. Malgré son calme apparent, il exultait intérieurement, sentant la crainte qui s'emparait petit à petit de celui qui n'allait avoir d'autre choix que d'être son adversaire. Enfin, il était parvenu à mettre la main sur celui qui avait triomphé d'Ikkaku.

Il réprimait à grande peine l'apparition de son éternel sourire goguenard, si proche du rictus et plein d'arrogance, qui contribuait à l'édification de son statut de démon de la onzième division. Pour l'instant, il ne voyait rien d'exceptionnel dans l'aura du jeune rouquin qui ployait d'ores et déjà sous sa simple pression spirituelle passive, mais ôsait espérer qu'il serait capable de bien plus une fois dans le feu de l'action. Comme l'avait dit Ikkaku, il ne fallait pas se fier aux apparences, car son potentiel était élevé et lui permettait de déployer une force insoupçonnée lorsqu'il était acculé. Il était vrai que s'il avait affronté Ikkaku avec la faible puissance que Zaraki sentait émaner de lui, il aurait été écrasé comme un simple moucheron. Il avait hâte de voir ce dont était réellement capable le rouquin, et était donc pleinement disposé à restituer les conditions nécéssaires à l'apparition de sa puissance maximale. Il s'en délectait d'avance tant ce combat avait été désiré. D'un ton doux, presque mielleux, il se décida finalement à répondre, l'air impassible malgré la joie qui bouillonnait en lui, lui faisant frôler l'euphorie.

Ben voyons. C'est Ikkaku qui m'a parlé de toi, bien entendu.

L'amusement éprouvé par le capitaine de la onzième grandit encore en lui lorsqu'il constata l'effet de surprise qu'avait suffi à provoquer chez le rouquin la prononciation du simple nom d'Ikkaku. Ce jeune était encore bien inexpérimenté en combat, et cela se voyait. Il n'avait jamais eu la chance de se voir inculquer les notions de combat les plus élémentaires, telles que "ne jamais montrer ses émotions à son adversaire", ou encore "toujours rester sur ses gardes quoi qu'il arrive". Il était vrai que la puissance démesurée qu'exhalait le capitaine était peut-être pour quelque chose dans son mal-être soudain. Zaraki manqua une nouvelle fois de sourire à cette idée, préférant paraître vaguement civilisé avant que l'affrontement ne débute. Il maîtrisait la peur, sans nul doute l'une des plus terribles armes que l'on puisse trouver, et l'adolescent en faisait les frais pour le plus grand plaisir de Kenpachi. Le trouble grandissait, au point qu'Ichigo en ait du mal à respirer, ayant l'impression d'avoir la lame de la faux de la Mort posée sur la gorge. Quelle agréable sensation que celle de dominer complètement son adversaire par la simple force du mental...

La sensation était agréable, mais était loin de valoir l'extase ressentie lors d'un combat épique, lorsque les lames s'entrechoquaient, pleines de la volonté de leurs propriétaires respectifs, et que les rugissements des combattants résonnaient au loin alors qu'il se confrontaient de toutes leurs forces. Peu importe leurs motivations, le but premier de tout un chacun lors d'un combat était toujours de triompher de son adversaire et de ne point mourir au combat. Préserver sa vie. Bouffer ou être bouffé. Bouffer encore et encore en attendant d'être bouffé à son tour. Une fois encore, la philosophie du quatre-vingtième district du Rukongaï ressurgissait des tréfonds de la mémoire de Zaraki, lui faisant éprouver un curieux sentiment de nostalgie à l'égard de ces années passées à grandir en traçant un sillage de sang. Il chassa bien vite cette pensée. Le mot n'était pas à ce genre de futilités. Les lames allaient parler, peu importe que le rouquin le veuille ou pas. Ils étaient déjà dans l'arène.

Ichigo eut à loisir de voir les lèvres de Kenpachi se fendre de leur sempiternel rictus démoniaque, véritable annonce de mort débordant de soif de sang pour quiconque voyait paraître ce sourire malsain sur le visage du "démon". Le moment tant attendu était arrivé...

Je suis Kenpachi Zaraki, le capitaine de la 11ème division.

Et je suis venu ici pour qu'on s'entre-tue.

Moui accepté! Je t'ajoute ton grade et ton rang. N'oublies pas de faire ta fiches technique ! Bienvenue

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